Aujourd'hui, travail sur le code source, pour gérer correctement la désactivation du module HQ, soit quand l'utilisateur le demande, soit quand la période d'essai arrive à son terme. Les paramètres audio (fréquence d'échantillonnage et nombre de bits améliorés, sortie multicanaux, etc) doivent revenir aux valeurs de base, telles qu'elles existaient avant l'apparition du module Myriad HQ, mais se réactiver lorsque le module est remis en route. Pour cela, on met en place ce qu'on appelle en programmation des "bottleneck", des goulots d'étranglement, qui permettent de n'avoir à programmer la gestion -complexe- d'un paramètre qu'une seule fois. Mais cela a nécessité de reprendre à la main plus de 300 lignes de code, une à une, pour mettre ça en place. Cela a peu d'incidence sur le fonctionnement ou l'aspect du programme, mais rend les choses plus propres dans le programme. Et ne dit-on pas que ce qui compte, c'est la beauté intérieure ? |
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by Olivier Guillion | | | |
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Comments
J'ai toujours pensé qu'il y avait une certaine forme d'art dans un code : il peut être élégant, concis, raffiné même dans certains cas, etc. Qualités qu'on retrouve dans d'autres disciplines dites artistiques. |
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On aimerait bien avoir aussi des "bottleneck" dans MyrSinth sur les jeux de guitares. Bon Travail, A+ |
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Oh que oui, c'est important ! Sans assimiler cela à de l'art, je compare souvent à une construction. Avec les bons matériaux, et en faisant dans le bon ordre, c'est facile de percer une fenêtre, d'ajouter une extension, de creuser une cave, de changer l'isolation, ou de faire les finitions intérieures... alors qu'un programme où on commence par les vélux et on finit par les fondations... ça finit à la poubelle (c'est du vécu 10 années/homme pour rien, un chef de projet qui faisait les finitions avant de se concentrer sur les fondations) |
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